Chaque individu possède ses atouts et ses difficultés particulières qui façonnent sa vision. De fait, juger l’autre selon nos propres capacités ou être jugé selon des valeurs extérieures à soi est rarement une approche pertinente. Mais il peut être difficile de percevoir le monde avec une perception autre que la sienne.

En conséquence, s’affranchir de nos biais en couple ou en famille pour connaître les points forts et difficultés de chacun peut souder les relations de manière durable. Cela favorise en particulier la compréhension mutuelle.

La graphologie peut aussi venir en soutien dans le travail de deuil ou de mémoire d’un proche qui a disparu.

En couple

Identifier les complémentarités

Accepter l’autre

Fluidifier la relation et la communication

L’outil graphologique permet de comprendre notre fonctionnement profond. C’est une prise de recul aiguisée qui permet ainsi de s’affranchir de nos jugements et de nos masques.

En couple, il arrive que nous ayons de l’autre une vision idéalisée. Mais une relation longue et fonctionnelle nécessite d’accepter et de chérir son partenaire dans sa réalité. Il arrive aussi que nous ayons des attentes et des insécurités qui pèsent sur l’autre et sur soi. Les identifier et les comprendre permet alors de les vivre plus sereinement.

Une analyse graphologique en couple permet par exemple d’échanger sur les valeurs profondes. Cela met en valeur les atouts naturels de chacun, mais aussi les domaines où chacun, naturellement, n’est pas à son aise. En observant ces profils en parallèle, nous pouvons donc identifier les similarités et les complémentarités.

Une analyse met aussi à jour les besoins primordiaux de chacun (par exemple, besoin d’indépendance, de simplicité, d’affection) et les envies motrices qui réjouissent (tel que construire des choses concrètes, vivre des moments intenses ou tisser du lien social). Une relation dans laquelle nos besoins sont comblés, ou du moins non accentués, et qui alimente les plaisirs spécifiques, a tout pour contribuer à l’épanouissement de l’un et donc de l’autre.

Nous avons beau connaître nos enfants depuis leur enfance, ainsi que notre fratrie, ou nos parents depuis toujours, il reste une part d’eux qui est cachée dans l’ombre de l’introspection, dans l’usure des malentendus, dans la disparité des expériences ou dans l’éloignement. Que ce soit pour accroitre la compréhension intra-familiale et passer de bons moments, ou que ce soit pour soigner des relations fragilisées, une analyse graphologique en famille contribue à la cohésion familiale.

D’abord comprendre l’autre ; sa manière de penser, ce qui le fait vibrer, ce qu’il a tendance à fuir.

Ensuite accepter l’autre : dans ses points forts et ses points de vigilance, dans ses insécurités et ses besoins.

Afin de communiquer avec l’autre à la lumière d’une connaissance mutuelle.

Puis d’identifier le potentiel de chacun et de trouver sa place dans le noyau familial.

Pour finalement s’apaiser soi, se sentir reconnu, accepté, et pouvoir être plus authentique.

L’analyse graphologique : un outil d’apaisement dans la relation familiale.

En famille

Mémoire d'un disparu

il arrive que nos proches partent avant que nous ayons pris le temps de les connaître vraiment. Lorsque c’est un parent, il se peut que nous restions avec des question en suspens, des interrogations sur la façon dont ils nous ont parenté. Il se peut aussi qu’un arrière grand-parent s’attire une curiosité particulière dans la reconstitution généalogique.

Lorsqu’un écrit manuscrit demeure, l’écriture s’avère être le témoin de la personnalité de ce disparu. Lettres, cartes postales, notes de travail, la graphologie les utilise donc dans la reconstitution du profil.