Il faut souligner que changer ses habitudes, son mode de vie et ses activités nécessite de s’adapter considérablement, parfois malgré soi. À juste titre, certains refusent le challenge : leur métier est devenu tout leur quotidien. Ils s’accrochent donc au sentiment d’utilité ou fuient la sensation de vide. Car accepter la nouveauté ou reconnecter à soi peut s’avérer particulièrement difficile. Quant à lâcher prise, ça peut être un travail de longue haleine.

Dans ces conditions, faire le point sur son parcours, sur ses plaisirs et ses besoins est une étape nécessaire dans la transition vers un nouveau début, avec un nouvel élan.

Une analyse graphologique afin de reconnecter à soi

Favoriser un accueil de soi plus réaliste et une expression de soi plus authentique.

L’analyse graphologique :

une porte ouverte vers la sérénité.

L’outil graphologique permet de comprendre notre fonctionnement profond. C’est une prise de recul aiguisée sur notre vision de soi, qui permet alors de s’affranchir de nos jugements et de nos habitudes.

Une analyse graphologique lors d’une transition vers la retraite met à jour les intérêts réels et les motivations profondes de l’individu en particulier ; celles qui réjouissent et donnent de l’élan dans la journée (par exemple, construire des choses concrètes ou tisser du lien social). Identifier ces motivations assure de renouer avec ses plaisirs primordiaux et nous sommes enfin en mesure de prioriser ce qui est réellement important.

Une analyse souligne aussi les atouts naturels de l‘individu. C’est-à-dire les points forts de la personnalité, utilisés sans effort (tel que la capacité de prise de recul, la créativité, l’organisation ou la capacité à agir). Car connaitre nos forces permet d’éviter une éventuelle perte de confiance en soi.

Il est également possible que certains besoins primordiaux aient été laissés de côté ; il est alors important de les identifier (par exemple, besoin de liberté d’action, de relations harmonieuses, de simplicité ou de renouvellement). En comblant ces besoins, nous nous rassurons et pouvons alors trouver la sérénité dans un sentiment de complétion.

Cet objectif d’épanouissement inclut aussi de prendre en compte nos points de vigilance ; c’est-à-dire les particularités qui peuvent impacter notre bien-être (hyperactivité, manque relationnel, crédulité, etc). Nous ne nous changerons pas, mais nous pouvons avoir conscience des pièges que nous tend notre personnalité afin de mieux les adresser.

Lâcher prise, c’est à la fois laisser l’activité professionnelle derrière soi et relâcher la pression sur « faire », « produire », « être constructif ». Objectifs : prendre enfin du temps pour soi et parfois savourer en ne faisant rien.

Une analyse graphologique aide ce processus via trois étapes :

D’abord, faire le point sur le parcours professionnel et le parcours de vie. Cela célèbre les avancées personnelles et améliore la compréhension des difficultés rencontrées pour favoriser le détachement.

Ensuite, examiner la concordance entre nos besoins réels et la pression sociale qui enjoint souvent à rester actif et productif – ce qui peut nous correspondre profondément ou pas du tout.

Enfin, identifier nos envies profondes et favoriser l’élan vers leurs réalisations. Cela permet de se sentir comblé, confiant, et favorise le lâcher-prise sur le reste.

La retraite : un nouveau départ plutôt qu’une fin